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Alexandre est un enseignant et mentor international, basé en France, où il partage son expertise et sa vision à un public mondial.
Il a étudié et évolué au sein de diverses traditions de sagesse ancestrales, telles que le bouddhisme, l'Advaita Vedanta, le Soufisme et plusieurs écoles ésotériques modernes. Cette approche diverse lui a permis d'acquérir une compréhension holistique des principes spirituels et philosophiques, tout en explorant les différents moyens de transcender les limitations humaines.
Avant de se consacrer pleinement à l'enseignement, il a consacré huit années à la pratique des arts martiaux et à la kinésithérapie. Cette période lui a non seulement permis de développer une grande maîtrise de soi, mais lui a aussi offert une compréhension profonde de la relation complexe entre le corps et l'esprit. Grâce à cette expérience, il a appris à reconnaître l'importance de la discipline, de la concentration et de l'équilibre dans la vie quotidienne, principes qu'il intègre maintenant dans son enseignement.
Depuis plus de quatre ans, il se consacre pleinement à l'accompagnement et au mentorat.
Alexandre guide ses clients à travers un processus de transformation profonde, en les encourageant à se reconnecter avec leur essence véritable et à vivre en harmonie avec leur environnement et l'univers tout entier.
L'être humain est tel un instrument de musique : il peut jouer la plus belle des mélodies lorsqu'il se laisse toucher par la main du divin. Pour cela, deux choses sont nécessaires : il doit s'abandonner au Grand Musicien, car c'est la grâce qui nous touche et non nous qui décidons d'où et de quand. Ensuite, il doit être accordé, et comme tout instrument, ses notes doivent être testées et jouées avant d'être ajustées correctement. S'autoriser une fausse note est donc le seul chemin possible avant d'un jour pouvoir offrir une symphonie.
- Alexandre Alcacer
La plus haute éducation est celle qui ne se contente pas de nous transmettre des connaissances, mais qui harmonise notre vie avec l'existence tout entière.
— Rabindranath Tagore